La cannelle fraîche, un goût tellement différent |
Crème dépilatoire |
Ensuite, ''silver factory'', une boutique de joaillerie où l'on peut voir les travailleurs occupés à monter des boucles d'oreilles commandées le jour même par un plus riche que nous, sans conteste. Un autre taille des pierres précieuses et semi-précieuses qui sont identifiées par notre guide parlant français, une rareté en soi au Sri Lanka. Il veut nous montrer les pierres destinées au montage de bijoux et bien sur à la vente. Louis lui précise que nous ne voulons pas lui faire perdre son temps puisque l'on achèterons pas de bijoux. Il nous fait voir quand même sa collection dans une boite de velours pourpre. Impressionnant, de belles pierres, de toutes tailles et de si belles couleurs sans oublier leur préciosité et le prix qui vient avec. Très généreux le monsieur, sachant qu'il ne fera pas de vente avec nous. Notre fidèle-au-poste chauffeur nous mène à une boutique de batik. La jeune femme accueillante à l'arrivée nous escorte à la fabrique où les artisanes, exclusivement des femmes, s'affairent à leur tache respective. La qualité du travail est remarquable, la minutie, la dextérité et la patience observées là est étonnante. Bien sur la visite mène à la boutique où sont accumulés des trésors de batik par la variété et la quantité et le prix de différents produits en montre. C'est cher le batik mais quand on voit le travail colossal que cela représente, ça se comprend! A peine sortit, on s'arrête devant le point de vue sur le lac et la ville. Mais comme on a faim, notre estomac devient notre principale préoccupation. Le chauffeur nous laisse centre-ville sur la rue des restos cheaps.
Kothu rotti au menu à un prix en plein
comme on aime! Louis échappe son iPod qui se brise sur le
béton...pis pas une petite égratignure...une bien grosse. On paie,
on quitte et on recherche une boutique électronique réparatrice de
iPod blessé, non-existant ici. Louis doit se résoudre à le
ménager au moins jusqu’à Colombo, notre prochaine destination.
Retour à l’hôtel où internet est intermittent, aucune chance de
parler ou de bloguer. La matrone commence à nous énerver
royalement. Raymonde rappelle deux fois à son homme de main que
notre lavage traîne depuis le matin attendant que sa main
bienveillante (la seule autorisée) veuille bien le foutre dans la
laveuse, Joey finit par le récupérer sale et on s'en remet à
demain. Comme on a pas très faim, on sort prendre une bière et
grignoter. D'agréables moments en famille à jaser famille et à
s'ennuyer un peu de la famille... Retour à notre home sous-terrain,
sans internet, ce qui nous embête parce que nous devions appelé la
sœur de la proprio du condo nouvellement loué et obtenir l'adresse
de cette façon. Louis monte pour demander y avoir accès, ce que la
matrone nous refuse. C'est alors que Louis décide de lui dire ce
qu'il pense du service donné depuis 2 jours, s'ensuit la deuxième
violente engueulade en 2 jours dans l'édifice, accompagné de Joey
qui vient se joindre à la fête. Qui se termine par une belle
remarque raciste de la grosse matrone. Louis rêve de pneus crevés
et de graffitis sur les murs pour la courte nuit qui suit.
Bonheur et engueulade à Kandy, heureux récit! Sale matrone, je la mets sur la liste!!
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