Arrivée en peine nuit, Bikaner, froid. Nous avions prévu le coup cette fois et appelé dans un hôtel près de la station de train pour nous assurer une chambre. Grâce à la carte de Lonely sur nos iPods, on s'y dirige en arrivant, pas peu fiers de pouvoir feinter tous les conducteurs à nos trousses avec le nom de notre demeure à proximité. Étonnamment, puisque Louis s'est rendu compte deux jours plus tard qu'il avait inversé le sens de la ville, on se rend à bon port. Réveil des deux employés assoupis dans l'entrée, on se fait montrer une chambre... Les tapis sont rongés et ça sent la vieille poussière et le rance... On demande un autre choix à l'employé, il nous dit que c'est la seule disponible. On descend en bas, voir celui qui semble plus en charge et il nous offre une autre chambre, pas de tapis cette fois, c'est plus sale un peu mais au moins l'odeur est beaucoup plus tolérable. On se couche rapidement, avec promesse de déguerpir aussitôt que possible, et réveil vers 10h00, en moyenne.
Pas de resto dans l'hôtel, on sort dans la rue, poussiéreuse, bruyante et lumineuse au possible! On repère le resto d'un autre hôtel pas loin, c'est tout chic, service empressé mais pas très expérimenté on dirait. Toasts beurrées des deux côtés encore... En sortant de la bâtisse, on en profite pour demander un aperçu des chambres, tant qu'à être sur place. Une grande chambre de luxe, un peu plus cher que d'habitude et deux chambres abordables, sur le toit de l'immeuble nous sont présentées. Louis, lui, était venu à Bikaner dans l'optique de faire un safari de chameaux dans le désert alors il fait pencher la balance vers une maison d'hôte dont les proprios sont aussi des chameliers, offrant de bons prix aux résidents pour un forfait complet.
On se dirige donc vers la Vino Paying Guest House (on cherche toujours des Free Guest House, pas trouvé...) pour voir de quoi il en retourne. Raymonde et Joey font la visite de la chambre à notre arrivée et reviennent, peu convaincus et un peu inquiets pour la santé de Louis car les proprios sont en pleine application de vernis et selon les dernières statistiques; c'est 2 broncho-spasmes en deux présences pour Louis dans cette situation. Il visite à son tour la chambre, pour départager la chose. C'est sale, les draps du précédent habitant sont toujours sur place, en désordre et ça sent TRÈS fort partout. OUT! On sort de là, retour à l'hôtel du déjeuner et sa chambre réconfortante. On se paye un petit luxe puisque nous serons ici 4 jours et qu'apparemment nous n'irons pas en expédition, l'enthousiasme pour la chose n'étant pas générale vu le désert non-conforme aux attentes. On s'installe donc confortablement... et y relaxe toute la journée, descendant de 3 étages pour les repas. Télé avec câble, on écoute des mauvais films en anglais jusqu'à ce qu'on tombe, un par un...
les 3 profitant des bienfaits du désert, en s'en protégeant
Pas de resto dans l'hôtel, on sort dans la rue, poussiéreuse, bruyante et lumineuse au possible! On repère le resto d'un autre hôtel pas loin, c'est tout chic, service empressé mais pas très expérimenté on dirait. Toasts beurrées des deux côtés encore... En sortant de la bâtisse, on en profite pour demander un aperçu des chambres, tant qu'à être sur place. Une grande chambre de luxe, un peu plus cher que d'habitude et deux chambres abordables, sur le toit de l'immeuble nous sont présentées. Louis, lui, était venu à Bikaner dans l'optique de faire un safari de chameaux dans le désert alors il fait pencher la balance vers une maison d'hôte dont les proprios sont aussi des chameliers, offrant de bons prix aux résidents pour un forfait complet.
On se dirige donc vers la Vino Paying Guest House (on cherche toujours des Free Guest House, pas trouvé...) pour voir de quoi il en retourne. Raymonde et Joey font la visite de la chambre à notre arrivée et reviennent, peu convaincus et un peu inquiets pour la santé de Louis car les proprios sont en pleine application de vernis et selon les dernières statistiques; c'est 2 broncho-spasmes en deux présences pour Louis dans cette situation. Il visite à son tour la chambre, pour départager la chose. C'est sale, les draps du précédent habitant sont toujours sur place, en désordre et ça sent TRÈS fort partout. OUT! On sort de là, retour à l'hôtel du déjeuner et sa chambre réconfortante. On se paye un petit luxe puisque nous serons ici 4 jours et qu'apparemment nous n'irons pas en expédition, l'enthousiasme pour la chose n'étant pas générale vu le désert non-conforme aux attentes. On s'installe donc confortablement... et y relaxe toute la journée, descendant de 3 étages pour les repas. Télé avec câble, on écoute des mauvais films en anglais jusqu'à ce qu'on tombe, un par un...
les 3 profitant des bienfaits du désert, en s'en protégeant
Quand ils précisent que c'est payant dans le nom de l'entreprise...
RépondreSupprimerAh! mais je la connais cette chambre d'hôtel avec ses appuie têtes en schmou de luxe! hihi